Léandra & Charles

Charles venait de finir son entrainement d'escrime. Aujourd'hui, il eu une coupure à l'oeil droit. Il allait se rendre a l'infirmerie l'orsqu'il se rappela qu'il devait rendre viste a la classe jaune, porter les herbes médicinales a l'infirmiere et ceuillir des ingrédients pour le cuisinier. Pfff ! pensa-t-il. Je ne peux meme pas me donner des soins ici ! Heureusement que j'ai Léandra... pensa t-il dans son fort interieur. Léandra et lui s'étaient, on peux dire, raprochés. Il alla ceuillir champignons, herbe aromatiques et herbes médicinales. Il alla les raporter a leur destinataire. Il voulais juste rendre visite à Léandra. Avec un peu de chance elle ne serai pas en cour a cette heure la.

J'était dans la classe jaune en train de broder, et je pensait a Charles. Des que je le voyait, mon coeur battait à cent à l'heure... ♥ Mais je fut trop distraite par mes pensée, et Mme de Brinon m'exclut donc du cours de broderie. Je dut partir aider Mme Fittre, l'infirmière. Et quand je me rendit a l'infirmerie, je rencontra CHARLES. Il avait été blaissé, et il se dirigeait vers la classe jaune. Je l'obligea donc a se rendre a l'infirmerie pour que je puisse le soigner grace a certaines plantes qu'il avait cueillies .

Charles apperçevit Léandra non loin de là. Il se dirigea d'un pas assez rapide vers elle. Depuis le matin, il ne lui avait pas rendu visite. Quand elle apperçut son oeil, elle l'obligea à se rendre à l'infirmerie avec elle. Mais, il se fesait tard désormais et il était possible que Charles devienne aveugle d'un oeil.

-Ne t'inquiète pas, s'emprit t-il de dire à Léandra qui parréssait inquiète. Tout ira bien.

Léandra l'informa que c'était possible qu'il ne voit plus de son oeil droit. Après tout, sa ne sera pas difficile de combattre à une vue sur deux non ? Il s'empressa alors d'éxécuter les ordres de se bien aimé Léandra.

Léandra, qui n'avait jamais autant paniqué, se retenut au bras de Charles pour ne point tomber en pamoison. Elle demanda a l'infirmière, qui avait plus d'expérience qu'elle, de faire cette oppération très douloureuse.
Léandra resta plus de la moitié de la nuit dans l'infiremerie avec Charles,qui souffrait énormément et se retenait de ne point pleurer de douleur, sinon Léandra serait tomber dans les pommes.
A l'aube, Léandra s'était endormie sur sa chaise et a moitié sur le lit de Charles quand Mme Fittre arriva. Quand elle la vit, elle lui ordonna de retourner dans son lit.

Je souffrais énormémment. Léandra me serait le bras si fort que si elle continuait, elle allait me l'aracher. Je me retenait de hurler. Une fois que l'infirmière en avait terminé, je voyait de mon oeil droit, bien qu'un peu flou, sauf que j'en garderais la cicatrice de 2 longues traces. Je m'endormit dans l'infirmerie ou je devais rester pendant quelques jours, le temps que mon oeil soit entierement guérri. Le soleil était déjà haut quand je me reveilla, Léandra à mes côtés. Mme Fittre lui demanda de s'en aller. J'était parfaitement réveillé et je protesta :

-Non, elle reste ici !

J'avais remarqué sur son visage qu'elle ne voulait pas du tout sortir. Mme Fitte accepta contre son gré pour ne pas que je force de trop sur mon oeil. Elle accepta même de me donner la permission de sortir avec Léandra pour que je prenne l'air. Il est vrai que rester à l'infirmerie était pénible au bout d'un certain temps.

-On va aux jardins ? avais-je demandé à Léandra.

Léandra accepta avec plaisir, et ils se promenèrent dans le jardins, slalomant entre les arbres. Charles qui adorait sentir les fleurs, les toucher... en oubliait presque sa blessure.
Léandra ,voyant qu'il retrouvait la joie de vivre, se mis à chantonner, contempler les fleurs ...
L'après-midi passa, et Léandra et Charles était tellement émerveillés par cette beauté qu'ils ne vut pas l'heure passer.
Tout était si paisible, rien ne semblait pouvoir gâcher ce merveilleux moment, mais, tout à coup, Mme de Brinon arriva et dévisagea Léandra. Mme de Brinon la convoca dans son bureau. Dans sa grande gentillesse, la femme accepta de fermer les yeux sur ce qu'elle venait de voir, et de ne rien dire à Mme de Maintenon. Elle lui interdit quand même de voir Charles car elle disait qu'il n'avait rien d'un grand roi.
Léandra ne put dormir de la nuit tant elle était triste.

On était tout les deux dans le jardin peuplé de magnifique fleurs. Je l'ai touchait en companie de Léandra, dans lequel je resentais un sentiment pas comme les autres : je l'aimait !
Elle était pour moi, plus qu'une amie.

D'un seul coup, une dame apparut et interdisa à Léandra de me voir.

Je ne savait fermer l'oeil de la nuit, je ne pouvait pas me passer de Léandra. Je me suis alors décidé, j'allé allé en douce dans la chambre de Léandra.
Quand je la reveilla, elle fut surprise de me voir. J'ajouta alors si doucement que seul Léandra put l'entendre :

-Je... t'aime !

J'avais peur qu'elle ne réagise mal mais, se qui était dit était dit .

Quand Léandra se réveilla elle fut assez surprise de voir Charles dans sa chambre, mais tout de même très contente.
Quand il lui annonca qu'il l'aimait, le coeur de Léandra bouillonait, elle en tremblait, elle réussi à peine à prononcer ses mots:

-"M... Moi... Moi aussi je t'aime !!

Charles lui sauta dans les bras, Léandra pleura de bonheur, ce moment était merveilleux !!!

Puis Mme du Pérou arriva pour reveiller la classe verte. Quand elle nous vit en train de nous serrer, elle cria. Mme de Maintenon, qui n'était pas loin, accourut et cria à son tour.

"LEANDRA ! CHARLES ! VOUS ETES RENVOYES !!!"

Elle pris le garçon et le sortit de la pièce, mais il cria :

" Rien ne pourra nous séparrer , RIEN !!!!"

A ces mots, Léandra l'aima encore plus.

J'était assez surpris de la réponse de Léandra et trop content pour me controler. Je sauta des ses bras. Puis, une fois de plus, Mme de Maintenon nous vit. Elle hurla :

-LEANDRA ! CHARLES ! VOUS ETES RENVOYES !

Elle me pris par le bras et me tira hors de la pièce. J'ai dut forcer sur mon oeil pour voir Léandra, ce qui serait sûrement la dernière fois. Je lança :

-Rien ne poura nous séparrer, RIEN !

Mme de Maintenon me conduisi jusqu'au roi Louis XIV, qui séjournait à Saint-Cyr, avec une chambre et un bureau. Il y eut une longue discussion jusqu'à ce qu'il déclara :

-Non, il ne faut pas punir Charles. C'est un bon chevalier. Il ne sera pas non plus renvoyer de Saint-Cyr, pas plus que Léandra et ils auront le droit de se voir, du moment qu'ils se comporte convenablement ! D'ailleurs, son oeil paraît rétabli. Il n'as désormais plus besoin d'aller à l'infirmerie.

Louis XIV nous fit signe de sortir. Il me retint tandis que Mme de Maintenon quittait la pièce. Je m'approcha de lui, d'un pas mal assuré. Je lu dans ses yeux qu'il était ravi. Mais, de quoi ?

-Je sais se qui se passe entre Léandra et vous. Je sais que vous vous aimez tous les deux. Je sais que l'on ne pourra jamais vous séparrer. Ce n'est pas que pour ça que je vous ai garder. Vous etes quelqu'un en lequel j'ai confiance et qui m'est fidèle. Allez chehcer votre chère Léandra.

J'alla éxécuté les ordre de mon Roi. Léandra était toute contente quand je lui appris que je n'était pas renvoyer. En meme tant, elle eu une expression de surprise quand,je lui dit que le roi nous appellait. Nous retournames à son bureau. Lous XIV déclara :

-Léandra, Charles. Je vous donne l'accord de faire ce que vous voulez ensemble, et de vous marrier quand vous aurez l'âge. Maintenant, partez.

Quand on sorti tout les deux, je la serrai une deuxième fois dans les bras, j'était si content !

Pendant que Charles était partit chez le Roi, Léandra pleurait, pleurait. Toute sa crème pour blanchir la peau était partie et elle se mordait les ongles. Elle savait que si la femme de chambre voyait cela elle se ferait taper sur les doigts mais elle n'y pouvait rien.
Léandra fut surprise que son bien-aimé revienne, mais au fond d'elle, elle sentait qu'il n'allait pas tout à fait bien. Elle esperait qu'elle pourrait le revoir au moins une fois.
Charles lui dit :

"Léandra ! Je ne suis pas renvoyé !!!"

Elle serra le jeune cavalier très fort, comme pour chasser toutes ses mauvaises pensées. Mais, tout a coup, il pris une voix plus sombre et grave et dit :

"Le roi veut nous voir."

Léandra tremblait mais le elle le suivit quand même. Le Roi annonca:

"Léandra, Charles. Je vous donne l'accord restez ensemble, et de vous marier quand vous aurez l'âge."

Ils partirent se promener dans le jardin, et Charles prit la main de Léandra. Ils étaient très heureux.
Des heurs passèrent. Les amoureux se regardèrent. Ce qu'ils nous attendaient tous les deux c'était...
LE BAISER !

Ils se rapprochèrent lentement, quand tout a coup, Mme de Maintenon arriva et interomput ce moment magique.
Elle dit:

"Léandra, votre travail n'est non pas ne vous amuser dans les jardins, mais de tenter de garder la peau blanche pour espérer un jour aller dans un couvent servir le Seigneur. Nous rentrons. "

Elle la prit par le bras et la rammena avec les autres.

Ses paroles avait marqué Léandra.

"Pour espérer un jour aller dans un couvent".

Charles avait lui aussi envie d'un petit baiser. Mais, Léandra devait aller rejoindre les autres filles de la classe verte. Peu importe, elle l'aimait et c'etait tous se qui contait.

Le lendemain, Charles devait aller à son entrainement.
Aujourd'hui, Léandra lui manquait plus que jamais, plus que les autres jours ou il ne savait pas qu'elle aussi l'aimait. Il ne pouvait pas arreter de penser à sa belle, même pendant qu'il s'entrainait au combat.
Après l'entrainement, il était mort de fatigue. Il décida quand meme d'aller aider Léandra et les autres filles.

Par grande chance, elles avaient bel et bien besoin d'aide pour attraper un Cerf des Bois Blancs avec Sa Majesté. Connaisant parfaitement la technique de chasse de la bête, il sorti son épée de fer. Il sauta, quand d'un coup, un cri retenti :

-Au secour ! Aidez moi !

Le cri était devenu puissant et le cerf fut alors prévenu que il était en danger de mort et s'enfuit. Charles se précipita vers l'endroit d'ou provenait le cri. Blanche !
Blanche, la meilleure amie de Léandra était prise au piège par un loup aux crocs bien poitus. Charles n'avait pas rentré son épée en entendant le cri. Il sauta, comme pour le cerf, mais, cette fois-ci, en poussant un cri de guerre. Le loup se retourna, et cavala dans les sous-bois.
Léandra s'approcha de Blanche d'un pas rapide. Mais Charles courut vers Léandra et l'embrassa.

Pendant que j'aidait les autres filles de la classe jaune, Charles arriva, qui l'air totalement abattu par la fatigue .
Il aida donc, malgré sa grande fatigue, les chasseurs et la classe jaune à attraper un Cerf des Bois Blanc.
Pendant ce temps, je marchais tranquillement avec Blanche au bord de l'étang, quand soudain un gros loup sauta sur elle et la piéga contre un arbre. J'était frustrée par ce qui était en train de ce passer; ma meilleure amie allait sans doute périr sous mes yeux, mais j'étais incapable de bouger tellement j'avais peur. Mais, par chance, mon grand et fort Charles arriva et, d'un coup d'épée fit fuir le loup.

Alors que je m'apprêtait a courir vers Blanche, qui s'était évanouie d'émotion, Charles arriva et m'embrassa. J'était tellement émue apres les évenements et heureuse par le geste qu'il venait d'effectuer que je tombai en pamoison. Ma tête se cogna contre un rocher et je tombai dans l'étang, qui était couvert de vase. Charles m'en ressortit aussitôt mais j'était toujours inconciente.
Charles me transporta a l'infirmerie et resta toutes la nuit a mes coté.

Au bout de plusieurs jours, comme mon état ne s'était point mélioré, et avait même empiré, ce qui était fort inquiètant, Mme de Maintenon fit venir le meilleur medecin de la ville .
Il constata alors que j'avait une maladie très rare: la "non histamine-induced angioedema" .
Et c'était une maladie presque impossible à soigner.

Le seul remède coutaît extrêmement cher et se curait aux Indes.
Mme de Maintenon, franchement désolée, n'avait pas de quoi payer cette somme si énorme.


Une question se posa alors avec Charles: Ou et Comment trouver cet argent ?